Jean-Christophe Lagarde minimise l’effet Macron sur les adhérents de l’UDI

Jean-Christophe Lagarde minimise l’effet Macron sur les adhérents de l’UDI

Jean-Christophe Lagarde était l’invité du Grand Rendez-vous iTélé / Europe 1 / Les Echos LIRE L’ARTICLE SUR LES ECHOS Le positionnement du centre est clair : il sera à droite. Invité du  Grand Rendez-vous d’Europe 1 , Jean-Christophe Lagarde a indiqué que l’UDI soutiendra bien François Fillon. D’ailleurs, les négociations en vue des législatives ont commencé. L’accord devrait ressembler à celui qui a déjà eu lieu durant les élections municipales, départementales ou régionales. « Grosso-modo, nous étions autour de 25% des candidats en lice. C’est exactement la même chose que l’UDI demande ». Ainsi, dans une éventuelle majorité parlementaire, cela représenterait entre « 90 et 100 parlementaires à l’Assemblée nationale ». Si pas d’accord, plusieurs candidats En clair, l’UDI  fait monter les enchères persuadée que sans eux une victoire sera plus compliquée : « Si on demande aux centristes de venir dans une coalition, c’est aussi avec eux, ce n’est pas juste leurs voix et pas les élus ». Le moyen de pression de l’UDI ? « S’il n’y a pas d’accords, il y aura plusieurs candidats (…) Vous imaginez dans une élection présidentielle deux candidats dans la même circonscription qui, le matin, font la campagne pour François Fillon et le soir font la campagne pour chacun séparément, c’est une campagne vouée à l’échec », prévient-t-il. Le maire de Drancy assume donc clairement le positionnement de l’UDI prévenant bien qu’il ne sera pas candidat à l’élection présidentielle : « ça aurait été une candidature d’égo ». Il dit préférer peser de son poids dans la campagne de François Fillon. Cela signifie également peser dans le projet : « On a exprimé notre désaccord sur la...